mardi 21 février 2012

Notorious Circus: La playlist(e)

La playliste de Snooze était écrite noir sur blanc.
Pour le convoi, j'ai fait tournée en boucle deux morceaux seulement (Le liebestraum de Liszt et la sonate au clair de Lune de Beethoven. Remarquez que j'ai évité Wagner).


Voici la musique d'ambiance de Notorious Circus:


"Vesti la giubba" (de l'opéra "Pagliacci" de Leoncavallo)

"Hurdy Gurdy Man" (Donovan)

"Nuages", "Nocturne", "Les yeux noirs", "Tears" et beaucoup d'autres (Django Reinhardt)

"Take the A train" (version Charlie Parker)

"The show must go on" (Queen)

"Behind a painted smile" (Isley Brothers)



Kid

mardi 14 février 2012

jeudi 9 février 2012

Ce sont eux qui le disent...

Florilège d'avis sur l'album "à l'ombre du convoi T1. Le poids du passé".



Bugben - 25/01/2012Dessin impeccable, jeu des flashbacks subtil. Évidemment historiquement irréprochable, mise en scène contextuelle ok. Et que dire de la préface de Simon GRONOWSKI ... un message émouvant à notre génération et à nos enfants. Je suis impatient de lire la suite. (Note 4.5/5 sur graphivore.be)

Niala S. Publié le 27/01/2012. "Scénario signé Toussaint et illustré par J.M Beroy, nos deux complices décrivent au moyen de différents flashback la montée de l'anti- sémitisme et du racisme vis à vis de la population Juive dans l'Allemagne des années 30. Le tout est représenté sans voyeurisme et avec le trait réaliste et touchant de Beroy. Que dire de l'histoire d'amour débutante entre cette jeune juive (Olya) et ce jeune allemand (Wilhem) ,enrôlé de force dans les jeunesses nazie par son père, ayant comme passion commune la lecture. A lire absolument la préface signée Simon Gronowski avant de débuter la lecture de cette BD criante de vérité a se procurer sans délai !" (note 5/5 sur graphivore.Be)

Benoit Cassel 02/02/2012: Ce qu'on en pense sur la planète BD : Ce premier opus commence en 1943 par la déportation d’Olya, jeune juive allemande, pour le camp d’Auschwitz. A partir des souvenirs qui remontent en elle depuis le sinistre wagon qui l’emmène, le scénariste Kid Toussaint zappe thématiquement de destins en destins, à différentes époques, pour éclairer le lecteur sur la psychologie et les origines des principaux protagonistes. Ainsi, on découvre la famille et l’horreur vécue par Olya ; mais aussi le tempérament lunaire et frondeur de son amoureux Wilhem au sein des jeunesses hitlériennes ; puis les origines du caractère revanchard de son père ; et la traitrise apparente de Théo… Ce mode de narration « immédiate » fait l’originalité du diptyque, bien plus que le sujet de la shoah en lui-même, qui a déjà été traité sous moult angles et par tous les médiums. Cela dit, à en juger par certains indécrottables négationnistes, il faut croire les itérations nécessaires. La finalité du diptyque est d’éclairer sur un épisode ferroviaire authentique de la seconde guerre mondiale en Belgique (la nuit du 19 au 20 avril 1943)… qu’on découvrira surtout dans le deuxième tome. On profite aussi des encrages semi-réalistes appliqués et très agréables, signés José Maria Beroy. Ce style allié à l’époque, font inévitablement penser à ce que fait Sylvain Vallée sur Il était une fois en France, ce qui n’est pas la moindre des références… (Note 3/4 sur planetbd.com)

Cox 08/02/2012: Au-delà de la fiction, les auteurs s’attachent à rester au plus près de la vérité historique, et donc parallèlement à l’histoire d’Olya, nous avons droit à un cours d’histoire sur la situation juive sous le régime nazi. C’est très bien fait. Et la portée narrative du récit n’est pas sans rappeler aux plus anciens l’excellente série de la fin des années 1970 : Holocauste. Les dessins sont excellents.Un album qui prend une option pour le top 5 de juillet. (Note : 5/5 sur 1001bd.com)

Pol 07/02/2012 Cette histoire est touchante, les enfants sont attachants, les événements qui
les secouent sont tragiques. Le récit est bien construit, l’alternance des
scènes est réussie et captivante, entre enfance, âge adulte, point de vue du
jeune homme, vécu de la jeune fille. Finalement ce qui est touchant c’est que
cette histoire n’est pas larmoyante, mais juste sincère. On ne s’attarde pas
forcément sur l’ampleur du génocide, ce n’est pas un documentaire, mais on
assiste à une tranche de vie, et celle-ci est bien racontée. Le dessin est
également soigné et détaillé, ce qui permet encore plus de se sentir impliqué
dans cette aventure. (Note 4/5 sur bdthèque.com)

Mais aussi :

Phikari 27/01/2012 BD historique intéressante, dessin convenable, un scénario malheureusement prévisible et difficile à transcrire dans une bd , mais ils ont plutôt réussi à voir la suite... (Note 3.5/5 sur bedetheque.com)



Et si c'est ma plus mauvaise critique, je signe à deux mains.

Merci à tous les lecteurs et toutes les personnes rencontrées ces deux dernières semaines. Vos compliments, vos avis sont un véritable moteur.


Kid