Version définitive.
Sortie prévue en septembre prochain.
Evenhuis-Toussaint-Gilani
jeudi 23 mai 2013
dimanche 14 avril 2013
Pour en finir avec le convoi....
Je tiens à remercier Simon Gronowski pour sa pudique mais très touchante préface du premier album.
Je remercie aussi Reynold Leclercq et à travers lui, toute l'équipe Casterman pour la confiance et le gros travail accompli pour que ces albums voient le jour.
Merci à JM Beroy pour ses magnifiques planches. Un nouveau sommet atteint.
Merci à Gauthier Van Meerbeeck, grand gentleman de la concurrence, qui m'a dirigé vers Reynold et Casterman.
Merci à Laurent Galmot. Toujours. Après tant d'années, sans même t'en rendre compte, tu continues à m'aider.
Merci aux lecteurs et aux critiques pour leur chaleureux accueil.
Parce qu'il est de ces histoires qui méritent d'être racontées et racontées encore, lues, entendues, écrites, écoutées, répétées. Parce qu'il est des choses qu'il ne faut pas oublier et qu'hélas, on risque d'encore reproduire. Parce qu'il y eut des hommes pour sortir de la mêlée, pour ne pas accepter l'horreur, pour démontrer qu'il suffisait pourtant, simplement, de dire "non" et qui l'ont fait, armés uniquement de leur courage qu'ils avaient grand. Parce que ces hommes, Jean Franklemon, Robert Maistriau et Youra/Georges Livchitz sont des modèles, des exemples qui ont démontré que chacun d'entre nous avait cette force, cette grandeur qui pouvait s'opposer à l'infamie. Parce qu'ils me donnent foi en l'être humain et en un monde meilleur.
Pour eux, pour nous et pour ceux qui nous suivent, je suis très fier d'avoir réalisé ce diptyque avec José-Maria Beroy.
Je remercie aussi Reynold Leclercq et à travers lui, toute l'équipe Casterman pour la confiance et le gros travail accompli pour que ces albums voient le jour.
Merci à JM Beroy pour ses magnifiques planches. Un nouveau sommet atteint.
Merci à Gauthier Van Meerbeeck, grand gentleman de la concurrence, qui m'a dirigé vers Reynold et Casterman.
Merci à Laurent Galmot. Toujours. Après tant d'années, sans même t'en rendre compte, tu continues à m'aider.
Merci aux lecteurs et aux critiques pour leur chaleureux accueil.
Parce qu'il est de ces histoires qui méritent d'être racontées et racontées encore, lues, entendues, écrites, écoutées, répétées. Parce qu'il est des choses qu'il ne faut pas oublier et qu'hélas, on risque d'encore reproduire. Parce qu'il y eut des hommes pour sortir de la mêlée, pour ne pas accepter l'horreur, pour démontrer qu'il suffisait pourtant, simplement, de dire "non" et qui l'ont fait, armés uniquement de leur courage qu'ils avaient grand. Parce que ces hommes, Jean Franklemon, Robert Maistriau et Youra/Georges Livchitz sont des modèles, des exemples qui ont démontré que chacun d'entre nous avait cette force, cette grandeur qui pouvait s'opposer à l'infamie. Parce qu'ils me donnent foi en l'être humain et en un monde meilleur.
Pour eux, pour nous et pour ceux qui nous suivent, je suis très fier d'avoir réalisé ce diptyque avec José-Maria Beroy.
mardi 2 avril 2013
Tout de même...
...il est indécent, de s'auto-congratuler de la sorte en public... Mais chaque critique qui m'est envoyée (par Beroy ou par des amis) est plus élogieuse que la précédente.
Après des mois de travail, après des mois à tenter de convaincre un éditeur, après des mois, des long mois, plus d'une année à attendre que le dessinateur fasse son oeuvre... Ces critiques sont la plus belle des récompenses. Encore merci.
From Graphivore :
Je vous avais décrit tout le bien que je pensais de cette BD lors de la sortie du premier tome. Le second tome venant de paraître confirme mes premières impressions. Le coup de crayon et le graphisme de José Maria Beroy sont toujours aussi proches de la réalité dans la représentation non seulement des résistants mais aussi des différents personnages ayant connu la déportation vers les camps de la mort. Par contre, je viens de me prendre une claque monumentale concernant le scénario de Kid Toussaint ! Alors que celui-ci aurait parfaitement pu se contenter de continuer le récit débuté dans le premier tome et dormir sur ses lauriers, eh bien non ! À mon plus grand plaisir, il commence un nouveau scénario parallèle au premier mais en nous présentant les différents personnages ayant contribué à l’évasion des déportés constituant ce convoi, évasion effectuée au moyen d’une lanterne recouverte d’un papier rouge, de trois pinces afin de couper les cadenas des wagons mais aussi grâce au courage de trois étudiants ayant mis au point et participés à cette évasion qui au départ semblait impossible. Le scénariste en profite pour nous dresser un état des lieux au fil des pages de ce second tome des évènements historiques (montée du nazisme, invasion et occupation de la Belgique) tout en nous présentant aussi les différentes réactions et émotions vécues par nos trois protagonistes lors de ses différents événements. Un tout grand merci pour ce scénario inattendu nous permettant de vivre l’histoire avec un grand H en suivant la préparation et l’évasion des personnages présentés lors du premier tome. Maitre achat printanier pour ce diptyque dont la qualité et la spontanéité me font placer la note maximale.
Niala S. sur graphivore.be
Kid...sans voix
Après des mois de travail, après des mois à tenter de convaincre un éditeur, après des mois, des long mois, plus d'une année à attendre que le dessinateur fasse son oeuvre... Ces critiques sont la plus belle des récompenses. Encore merci.
From Graphivore :
Je vous avais décrit tout le bien que je pensais de cette BD lors de la sortie du premier tome. Le second tome venant de paraître confirme mes premières impressions. Le coup de crayon et le graphisme de José Maria Beroy sont toujours aussi proches de la réalité dans la représentation non seulement des résistants mais aussi des différents personnages ayant connu la déportation vers les camps de la mort. Par contre, je viens de me prendre une claque monumentale concernant le scénario de Kid Toussaint ! Alors que celui-ci aurait parfaitement pu se contenter de continuer le récit débuté dans le premier tome et dormir sur ses lauriers, eh bien non ! À mon plus grand plaisir, il commence un nouveau scénario parallèle au premier mais en nous présentant les différents personnages ayant contribué à l’évasion des déportés constituant ce convoi, évasion effectuée au moyen d’une lanterne recouverte d’un papier rouge, de trois pinces afin de couper les cadenas des wagons mais aussi grâce au courage de trois étudiants ayant mis au point et participés à cette évasion qui au départ semblait impossible. Le scénariste en profite pour nous dresser un état des lieux au fil des pages de ce second tome des évènements historiques (montée du nazisme, invasion et occupation de la Belgique) tout en nous présentant aussi les différentes réactions et émotions vécues par nos trois protagonistes lors de ses différents événements. Un tout grand merci pour ce scénario inattendu nous permettant de vivre l’histoire avec un grand H en suivant la préparation et l’évasion des personnages présentés lors du premier tome. Maitre achat printanier pour ce diptyque dont la qualité et la spontanéité me font placer la note maximale.
Niala S. sur graphivore.be
Kid...sans voix
mercredi 27 mars 2013
Il est sorti !
à l'ombre du convoi T2. L'espoir d'un lendemain est sorti dans toutes les bonnes librairies.
Voici deux critiques qui font plaisir (les autres lues jusqu'ici sont du même tonneaux; merci à vous) :
Le travail de José Maria Beroy se veut également de très grande qualité. Hormis l'effet documentaire qui ne fait aucun doute, ce dernier démontre la toute puissance de son trait à œuvrer dans le réalisme. Son graphisme est net, précis, proportionnel, pointu, émouvant dans la gestion des expressions de ses personnages et colorisé avec grand soin.
Un bien bel ouvrage, imparable et douloureux, qui se veut honorifique et qui suscite une bonne dose d'émotions. A lire !
Une savante mise en scène
Basée sur une histoire vraie, à l’ombre du convoi est un récit poignant et admirablement bien construit. Il tourne autour de trois personnages principaux, Olya la juive, Théo le belge et Wilhem de la Schutzpolizei. Leurs destins se croisent au fil des tomes, leurs histoires sont évoquées individuellement et apportent à chaque fois un nouveau point de vue sur la guerre. Plus que ces trois protagonistes, des flashbacks de la première guerre mondiale montrent que leurs destins étaient liés dès leurs parents, également connectés les uns aux autres. Technique narrative extrêmement complexe mais réalisée sans accroc par Kid Toussaint.
La guerre en images
Les illustrations de José Maria Beroy apportent au récit un mélange entre film et documentaire. L’attention portée aux détails architecturaux, aux personnages, aux scènes de bataille est impressionnante. Tel un documentaire, nous voyons les actualités se dérouler en noir et blanc avec pour seul détail de couleur, le rouge hypnotique du drapeau nazi qui n’est pas sans rappeler la liste de Schindler. Le choix d’un dessin presque à l’américaine et la mise en couleur informatisée permettent une certaine distance avec le sujet dramatique. Un mal pour un bien ?
A l’ombre du convoi est un diptyque poignant qui, mieux qu’un énième récit de guerre, s’attarde sur l’individualité de trois personnages diamétralement opposés et les circonstances qui les ont amenés là où ils en sont. Une très bonne bande dessinée historique qui plaira non seulement aux amateurs du genre, mais dont le côté romancé pourra également séduire un plus grand nombre.
par armelle le 27/03/2013
Voici deux critiques qui font plaisir (les autres lues jusqu'ici sont du même tonneaux; merci à vous) :
Cet épisode reste dans le même concept que le précédent. Après nous avoir préparer à une échéance que l'on devine sans équivoque et en faisant courir une intrigue sur l'identité de celui qui va tenter de dérouter le convoi, il fait de nouveaux sauts dans le passé pour en justifier quelque part les évènements prochains. A cet égard, Kid Toussaint gère son histoire toujours avec le même sérieux et surtout avec la même fidélité aux faits historiques (cet assaut a réellement eu lieu dans la nuit du 19 avril 1943). A la manière d'un puzzle, l'auteur juxtapose de façon volontairement désordonnée, des tranches de vie (de la guerre 14-18 à la préparation de l'assaut du convoi) ayant un lien, cette fois-ci, avec le personnage clé de cet opus, Theo. Aussi, au fil des pages, alors que l'on croise à plusieurs reprises cet autre personnage essentiel qu'est Olya et en fin, Wilhem, on finit, à la suite d'une petite gymnastique, à saisir tout le fondement de ces histoires familiales.
Compte tenu du sujet et de la nature des faits contés, il va de soi que l'émotion est au rendez-vous. Kid Toussaint parvient, de par la teneur dramatique de son récit, à rendre parfaitement convaincantes les trois destinées et la façon dont elles se sont croisées. A n'en pas douter, on ne peut qu'adhérer à son travail qui repose sur une volonté de garder en mémoire un épisode de représailles particulièrement inhumain qu'il a su traiter au moyen d'une très bonne fiction.
Le travail de José Maria Beroy se veut également de très grande qualité. Hormis l'effet documentaire qui ne fait aucun doute, ce dernier démontre la toute puissance de son trait à œuvrer dans le réalisme. Son graphisme est net, précis, proportionnel, pointu, émouvant dans la gestion des expressions de ses personnages et colorisé avec grand soin.
Un bien bel ouvrage, imparable et douloureux, qui se veut honorifique et qui suscite une bonne dose d'émotions. A lire !
Basée sur une histoire vraie, à l’ombre du convoi est un récit poignant et admirablement bien construit. Il tourne autour de trois personnages principaux, Olya la juive, Théo le belge et Wilhem de la Schutzpolizei. Leurs destins se croisent au fil des tomes, leurs histoires sont évoquées individuellement et apportent à chaque fois un nouveau point de vue sur la guerre. Plus que ces trois protagonistes, des flashbacks de la première guerre mondiale montrent que leurs destins étaient liés dès leurs parents, également connectés les uns aux autres. Technique narrative extrêmement complexe mais réalisée sans accroc par Kid Toussaint.
La guerre en images
Les illustrations de José Maria Beroy apportent au récit un mélange entre film et documentaire. L’attention portée aux détails architecturaux, aux personnages, aux scènes de bataille est impressionnante. Tel un documentaire, nous voyons les actualités se dérouler en noir et blanc avec pour seul détail de couleur, le rouge hypnotique du drapeau nazi qui n’est pas sans rappeler la liste de Schindler. Le choix d’un dessin presque à l’américaine et la mise en couleur informatisée permettent une certaine distance avec le sujet dramatique. Un mal pour un bien ?
A l’ombre du convoi est un diptyque poignant qui, mieux qu’un énième récit de guerre, s’attarde sur l’individualité de trois personnages diamétralement opposés et les circonstances qui les ont amenés là où ils en sont. Une très bonne bande dessinée historique qui plaira non seulement aux amateurs du genre, mais dont le côté romancé pourra également séduire un plus grand nombre.
par armelle le 27/03/2013
lundi 18 mars 2013
samedi 2 mars 2013
lundi 18 février 2013
Sortie le 27 mars!
ça y est! C'est officiel! à l'ombre du convoi 2 "L'espoir d'un lendemain" sortira le 27 mars prochain.
Encore un peu de patience le temps que la prod fasse son travail et il sera dans les librairies...
... ENFIN!
J'espère de tout coeur qu'il sera à la hauteur de votre attente.
Kid
Encore un peu de patience le temps que la prod fasse son travail et il sera dans les librairies...
... ENFIN!
J'espère de tout coeur qu'il sera à la hauteur de votre attente.
Kid
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