Je tiens à remercier Simon Gronowski pour sa pudique mais très touchante préface du premier album.
Je remercie aussi Reynold Leclercq et à travers lui, toute l'équipe Casterman pour la confiance et le gros travail accompli pour que ces albums voient le jour.
Merci à JM Beroy pour ses magnifiques planches. Un nouveau sommet atteint.
Merci à Gauthier Van Meerbeeck, grand gentleman de la concurrence, qui m'a dirigé vers Reynold et Casterman.
Merci à Laurent Galmot. Toujours. Après tant d'années, sans même t'en rendre compte, tu continues à m'aider.
Merci aux lecteurs et aux critiques pour leur chaleureux accueil.
Parce qu'il est de ces histoires qui méritent d'être racontées et racontées encore, lues, entendues, écrites, écoutées, répétées. Parce qu'il est des choses qu'il ne faut pas oublier et qu'hélas, on risque d'encore reproduire. Parce qu'il y eut des hommes pour sortir de la mêlée, pour ne pas accepter l'horreur, pour démontrer qu'il suffisait pourtant, simplement, de dire "non" et qui l'ont fait, armés uniquement de leur courage qu'ils avaient grand. Parce que ces hommes, Jean Franklemon, Robert Maistriau et Youra/Georges Livchitz sont des modèles, des exemples qui ont démontré que chacun d'entre nous avait cette force, cette grandeur qui pouvait s'opposer à l'infamie. Parce qu'ils me donnent foi en l'être humain et en un monde meilleur.
Pour eux, pour nous et pour ceux qui nous suivent, je suis très fier d'avoir réalisé ce diptyque avec José-Maria Beroy.
dimanche 14 avril 2013
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2 commentaires:
Merci à vous monsieur Toussaint.
Je vous en supplie.
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